Alice O'Haras

Alice est une jeune assez introvertie : elle n’ira pas d’elle-même vous voir, cependant lorsque vous brisez la glace, vous découvrirez quelqu’un de pétillant, souriant et toujours de bonne humeur. Une vraie éponge, si quelque chose ne va pas, son visage ne pourra la trahir mais elle-même ne jouera pas, surtout qu’elle déteste le mensonge.
Assez simple de caractère, les choses semblent devenir plus compliquée lorsqu’elle est passionnée. Ayant peu de confiance en elle, elle se vexera facilement mais ne sera jamais rancunière et si vous laissez passer une heure ou deux, vous pourrez la retrouver comme si rien ne s’était passé.
Son côté introvertie fait aussi d’elle une personne qui n’aime pas le regard qui peut parfois peser sur elle et sur sa jambe malade, c’est pourquoi elle n’est pas très fêtarde et préférera simplement un petit film ou une soirée chez des amis plutôt que de sortir en boite de nuit ou dans un bar rempli d’inconnus. En effet, Alice est quelque peu agoraphobe.

Nous passerons rapidement sur la naissance de la jeune O’haras et son enfance, ce qui est certain c’est que, déjà toute petite, la jeune Alice souhaitait monter sur le dos d’un cheval et ses parents réalisèrent son rêve aussi vite que possible. Même si ses parents n’étaient pas aisés, ils firent leur maximum pour garder le rêve de la petite fille réalisable. Alors qu’elle n’avait qu’une dizaine d’années, un cancer déjà bien présent fut trouvé sur son père, ceci expliquant pourquoi ils n’avaient pu avoir de second enfant. Sa mort fut rapide et quelques mois après avoir appris pour sa malade, M. O’haras fut enterré.

La jeune enfant se réfugia alors dans l’équitation, montant encore plus régulièrement à cheval en échange de quelques coups de main occasionnels. Du haut de ses 11 ans, elle était déjà mature et débrouillarde.
Sa mère passa son temps à retrouver un nouveau partit, Alice ne comprit jamais pourquoi son père, à peine enterré, sa mère devait retrouver un nouveau mari. Ce n’est qu’en grandissant qu’elle réalisa que sa mère avait tout quitté pour se marier avec son père et qu’elle n’avait aucunes études donc aucune perspective de travail.

Alice se retrouva sans cellule familiale, sa mère toujours occupée avec des hommes qui subvenait à leurs besoins pendant un certain temps avant de s’en aller. La jeune fille quitta d’elle-même le collège et entra en profession sans que personne ne le sache vraiment.
A cette époque, les moniteurs d’équitation étaient durs et souvent Alice s’entendait dire qu’elle n’avait pas la fibre, qu’elle ne serait jamais une bonne cavalière, qu’elle n’y arriverait jamais. Malgré tout, elle persista, continua à monter, à tomber, et à se remettre en selle.

Alors qu’elle avait 15 ans, sa mère sembla retrouver un semblant de conscience en se mariant avec un homme fortuné. Alice n’accepta, cependant, pas cette famille et elle profita de la faiblesse de sa mère pour décider de partir faire ses études en internat : des études pour devenir une cavalière expérimentée.

Là-bas, elle subit les moqueries des autres élèves, elle tomba en dépression et anorexie mais n’abandonna pas. Finalement, son talent fut remarqué et alors qu’elle passait ses derniers examens, elle fut embauchée dans une grande écurie de dressage près de Londres.
Elle y fit ses débuts comme groom puis comme cavalière professionnelle et parcouru le monde avec des chevaux à sa charge pour les présenter. C’est à ce moment-là qu’elle devint épanouie, plus heureuse qu’elle ne le fut jamais.

Mais un accident mit fin à ses rêves. Elle avait alors 26 ans. Elle conduisait le camion pour se rendre en écosse. Un cheval se leva et le camion fut dérouté. La route était glissante, trop glissante, une voiture arrivait en face, trop rapidement. Elle braqua pour éviter la voiture qui était en face d’elle, le camion sortit de la route et elle ferma les yeux.
Elle se réveilla sur un lit d’hôpital, sa jambe gauche avait été écrasée et elle avait perdu toute sa motricité. Ce fut à ce moment-là qu’elle n’eut d’autre choix que de rejoindre cette famille qu’elle avait perdu de vue depuis plus de  10 ans.

Elle rentra à Whitby chez sa mère et son beau-père. Elle passa sa première année au fond de son lit, n’ayant la motivation de se lever et de refaire sa vie. Cependant, un jour, le bruit d’un cheval l’attira et elle se leva. Voir au loin cet animal fut un déchirement pour la jeune femme qui revit instantanément l’accident. Elle ne put l’approcher.
Mais avec sa jambe boiteuse, elle réussit à reprendre un semblant de vie. Elle se fit embaucher dans une boutique vendant du matériel équestre avant d’en devenir gérante après un an passé là-bas. Sa jambe allait mieux et son désir de remonter à cheval devint important.
Elle commença alors à remonter dans une écurie et appris à se débrouiller avec une seule jambe. Là-bas, elle rencontra Nathaël avec qui elle forgea une nouvelle amitié. Et lorsque ce dernier ouvrit Enhancing it, elle lui proposa son aide afin de donner des cours particuliers de dressage, en échange de quoi, elle monterait dans ses installations.

réservé aux futurs professionnels. réservé aux futurs professionnels. réservé aux futurs professionnels. réservé aux futurs professionnels. réservé aux futurs professionnels. réservé aux futurs professionnels. réservé aux futurs professionnels. réservé aux futurs professionnels. réservé aux futurs professionnels. réservé aux futurs professionnels. réservé aux futurs professionnels. réservé aux futurs professionnels. réservé aux futurs professionnels. réservé aux futurs professionnels.